Programme d’autoformation 2024-2025 destiné à la mise à jour des connaissances des équipages de conduite

 

Le questionnaire rempli doit être conservé par le pilote.

Remarque : Cette page ne peut être sauvegardée pendant que vous y travaillez. Vous pouvez choisir d'utiliser le PDF ci-dessus ou remplir les champs ci-dessous et une fois terminé, imprimez votre examen final sous forme de copie papier ou en format PDF (grâce aux fonctions de votre navigateur web).

Se reporter à l’alinéa 421.05(2)d) du Règlement de l’aviation canadien (RAC), visant à mettre à jour les connaissances des pilotes sur des sujets tels que les facteurs humains, la météorologie, la planification des vols et la navigation, ainsi que la réglementation aérienne.

Une fois ce questionnaire rempli, il permet à l’intéressé de satisfaire aux exigences de la formation périodique, qui doit être suivie tous les 24 mois conformément à l’alinéa 401.05(2)a) du RAC. Le questionnaire doit être conservé par le pilote. 

Tous les pilotes doivent répondre aux questions 1 à 49. En outre :

  • Les pilotes d’avion doivent répondre aux questions 50 à 59 ;
  • Les pilotes d’hélicoptère doivent répondre aux questions 60 à 64 ; 
  • Les pilotes de planeur doivent répondre aux questions 65 à 68 ; 
  • Les pilotes de ballon doivent répondre aux questions 69 à 73 ;
  • Les pilotes d’ultraléger, d’autogire, d’ultraléger à commande par transfert de poids ou de parachute motorisé doivent répondre aux questions 74 à 88, selon le cas. 

Les références sont indiquées après chaque question. Certaines références ne sont disponibles qu’en anglais. Les modifications à ces publications peuvent entraîner des changements aux réponses ou aux références. Bon nombre de réponses se trouvent dans les sources suivantes : 

GEN – Généralités

1. Que signifie l’instruction « Autorisé pour l’option » du contrôle de la circulation aérienne donnée à un aéronef à l’arrivée?

Référence : AIM de TC - RAC 4.4.3

Réponse 1 : 

Elle permet à un pilote d’effectuer un posé-décollé, une approche basse altitude, une approche interrompue, un arrêt-décollé ou un atterrissage avec arrêt complet.

 

2. Bien que les drones puissent voler beaucoup plus haut, quelle est leur altitude maximale normalement autorisée dans un  espace aérien non contrôlé?

Référence : RAC 901.25; AIM de TC - ATP 3.2.13

Réponse 2 : 

400 pi AGL ou 100 pi au-dessus de l’obstacle le plus haut dans un rayon de 200 pi mesuré horizontalement.

 

AGA-Aérodromes

3. Que signifie le symbole 

 à côté des heures d’exploitation dans le CFS, pour un aérodrome?

Référence : CFS GÉNÉRALE - Légende - Aérodromes et installations Légende – Annotations et codes

Réponse 3 : 

Cela signifie que les heures d’exploitation changent pendant l’heure avancée. Cela signifie que si vous soustrayez -5h pour obtenir l’heure locale, lorsque l’heure avancée est en vigueur, il faudra soustraire -4h. En d’autres mots, une heure plus tôt que l’heure indiquée.

 

4. À St-Frédéric (CSZ4), QC, les pistes 05 et 23 ont des seuils décalés. Quels seraient les dangers qui expliquent les seuils décalés?

Référence : CFS ; AIM de TC - AGA 3.5 ; Manuel de pilotage 4e édition p. 28

Réponse 4 : 

Les dangers sont les suivants : obstacles, piste 23 monte 2.0 %, route traversant le seuil de la piste 05, balisage ARCAL la nuit pour les feux de piste, et entretien limité l’hiver pour les opérations hivernales. Pour pouvoir franchir ces obstacles avec une marge de sécurité suffisante, il est nécessaire de décaler les seuils des pistes en amont de la piste adjacente lorsque la pente d’approche ne peut pas être augmentée. Des obstacles naturels ou non font saillie dans les surfaces de limitation d’obstacles des trajectoires d’approche et de décollage des pistes.

 

5. Sur quelle fréquence devriez-vous faire des appels radio pour St-Frédéric, QC, et allumer les feux de piste ARCAL?

Référence : AIM de TC - RAC 4.5.1; TP 11541

Réponse 5 : 

UNICOM 122.8 ; 121.7.

 

6. Dans l’entrée du CFS sur St-Frédéric (Québec), la section « attention » signale la présence d’une ferme d’animaux à fourrure à environ 14 NM au sud-ouest de l’aérodrome. Qu’est-ce que cela signifie pour vous si vous intégrez le circuit à 2000 pi ASL depuis le sud‑ouest en mai?

Référence : AIM de TC - RAC 1.10.1

Réponse 6 : 

Il ne faut pas survoler ces fermes en dessous de 2000 pi AGL. En raison de l’altitude élevée du sol et de la ferme d’animaux à fourrure, il est avisé d’attendre d’être plus proche de l’aérodrome avant de descendre à l’altitude du circuit.

 

COM – Communications

7. Quelle est la procédure recommandée pour l’utilisation du téléphone en cas de panne des communications radio?

Référence : AIM de TC - COM 1.7

Réponse 7 : 

UTILISATION DU TÉLÉPHONE EN CAS DE PANNE DES COMMUNICATIONS RADIO
En cas de panne des communications radio en vol, et seulement après avoir suivi les procédures normales relatives à une panne de communications, le commandant de bord peut tenter d’entrer en communication avec l’unité de service de la circulation aérienne (ATS) appropriée de NAV CANADA par téléphone cellulaire ou par téléphone satellite conventionnels. Avant de passer l’appel, le pilote d’un aéronef muni d’un transpondeur doit régler ce dispositif sur le code 7600. Les numéros du réseau téléphonique public commuté (RTPC) à utiliser en cas de panne des communications sont publiés dans le Supplément de vol – Canada (CFS).

 

MET – Météorologie 

8. Quelles sont les heures d’ouverture de votre centre d’information de vol (FIC) et à quel numéro de téléphone pouvez-vous le joindre?

Référence : AIM de TC – MET 1.3.1

Réponse 8 : 

Tous les FIC offrent un service 24 heures sur 24. Les numéros de téléphone des FIC sont fournis dans le CFS. Les appels des pilotes au numéro d’appel commun sans frais 1-866-GOMETEO (466-3836) seront automatiquement acheminés au FIC desservant la région d’où provient l’appel.

 

9. Dans une GFA, quelles conditions météorologiques sont définies par le terme « règles de vol à vue marginales » ?

Référence : AIM de TC - MET 4.9

Réponse 9 : 

Réponses 9 : Plafond de 1000 à 3000 pi AGL et/ou visibilité de 3 à 5 SM

 

10. Vous regardez une GFA et remarquez qu’elle décrit du brouillard dans une région précise comme étant PTCHY.  Qu’est-ce que cela signifie? Comment cela décrit-il précisément le brouillard?

Référence : AIM de TC - MET 4.11

Réponses 10 :

Bancs de 26 à 50 % de la zone indiquée est touchée par le brouillard.

 

11. Indiquez quatre (4) différences qui existent entre des observations effectuées par un observateur humain et des observations diffusées par l’AWOS.

Référence : AIM de TC - MET 8.5.4, tableau 8.3

Réponse 11 : 

Selon le tableau des comparaisons.

 

12. Vous regardez une GFA et vous tombez sur un terme que vous ne connaissez pas. Quelles ressources pouvez-vous utiliser pour trouver le sens exact?

Référence : MANAB, AIM de TC - MET 15.0 Abréviations; Guide des services météorologiques à l’aviation de NAV CANADA; CFS

Réponse 12 : 

MANAB, AIM de TC - MET 15.0 Abréviations, appelez votre FIC au 1-866-GOMETEO et demandez à un spécialiste de l’information de vol.

 

13. Dans le METAR ci-dessous, que signifie 250V310?

METAR CYOW 271800Z 29013G20KT 250V310 15SM BKN060 22/11 A2990 RMK SC6 SLP128 DENSITY ALT 1400FT=

Référence : Guide des services météorologiques à l’aviation (ouvre une nouvelle fenêtre)

Réponse 13 : 

Vent variable de 250 à 310.

 

14. Dans le TAF ci-dessous, à quelle heure est-il prévu que les averses de pluie légères cesseront? 

TAF

CYOW

TAF CYOW 271740Z

2718/2818 28015G25KT P6SM BKN050

FM280000 27010KT P6SM −SHRA OVC050

FM280500 31008KT P6SM −SHRA OVC020

FM280900 31008KT P6SM BKN025 BKN100

FM281100 28010KT P6SM FEW030

FM281700 25010KT P6SM SCT050

RMK NXT FCST BY 272100Z=

 

Référence : Guide des services météorologiques à l’aviation (ouvre une nouvelle fenêtre)

Réponse 14 : 

0900Z

 

15. À l’aide du TAF ci-dessous, indiquez quelles sont les conditions météorologiques prévues au cours d’un vol local d’une durée de 2 heures si le départ est à 1700Z.

  1. La couche de nuages la plus basse prévue sera à 2 000 AGL
  2. Le vent passera de 100° à 270° 
  3. À l’arrivée, le plafond sera de 5 000 AGL
  4. a et b

TAF CYVR 061140Z

0612/0718 22010KT P6SM FEW020 SCT050 SCT200 TEMPO 0612/0618 SCT020 BKN050 BKN200 BECMG 0613/0615 10008KT FM061800 27008KT P6SM SCT040 BKN140 FM070900 30008KT P6SM SCT025 BKN050 BKN080 RMK NXT FCST BY 061500Z=

Référence : Guide des services météorologiques à l’aviation (ouvre une nouvelle fenêtre)

Réponse 15 : 

d

 

À l’aide de la GFA ci-dessous, répondez aux deux questions qui suivent. 

 

16. Sur la GFA ci-dessus, que signifie le 15 entouré d’un cadre? 

Référence : Guide des services météorologiques à l’aviation (ouvre une nouvelle fenêtre)

Réponse 16 : 

Le centre de la haute pression se déplace à 15 nœuds.

 

17. Sur la GFA ci-dessus, que signifie cette boîte?

Référence : MANAB (ouvre une nouvelle fenêtre)

Réponse 17 : 

Brouillard local, ½ mille terrestre, plafond à 200 pieds au-dessus du sol, sommet des nuages à 1 500 pieds au-dessus du niveau de la mer au-dessus et près du lac Supérieur.

 

À l’aide de la GFA ci-dessous, répondez à la question 19.

 

18. Interprétez l’information ci-dessous tirée de la GFA ci-dessus.

Référence : Guide des services météorologiques à l’aviationMANAB et Manuel de météorologie du commandement aérien (TP9352), Chapitre 9 Givrage d’aéronefs (ouvre une nouvelle fenêtre)

Réponse 18 : 

Formation de givre de type mixte modérée en nappe (givre blanc et givre transparent) entre 3 000 et 6 000 pieds ASL et formation locale de givre de type mixte modérée (givre blanc et givre transparent) de la surface à 3 000 pieds ASL causée par de la bruine verglaçante locale.

 

RAC – Règles de l’air et services de la circulation aérienne

19. Indiquez quatre éléments ou plus qui doivent être communiqués à la personne responsable lors de l’utilisation d’un itinéraire de vol.

Référence : AIM de TC - RAC 3.5.2 et  3.14.2 ; RAC 602.75 ; CFS, C2 Planification.

Réponse 19 : 

Voir la section C2 Planification du Supplément de vol Canada pour les 27 éléments. 

 

20. En plus d’un appareil radio pouvant communiquer bilatéralement, quel autre appareil est nécessaire pour pénétrer en conditions VFR dans l’espace aérien de classe C?

Référence : AIM de TC - RAC 2.8.3 et COM 8.0

Réponse 20 : 

Transpondeur mode C.

 

L’espace aérien contrôlé et l’espace aérien non contrôlé offrent des services différents de renseignements sur le trafic et de résolution des conflits. Sur la base de cet énoncé, répondez aux questions 22 à 25.

21. Dans l’espace aérien de classe C, l’ATC assure l’espacement entre  aéronefs . La résolution de conflit entre les aéronefs VFR peut être offerte .

Référence : AIM de TC - RAC 2.8.3 

Réponse 21 : 

tous les; IFR; sur demande.

 

22. Dans l’espace aérien de classe D, l’ATC assure-t-il l’espacement?  Si l’équipement et la charge de travail le permettent, l’ATC fournira-t-il un avis de résolution de conflit entre les aéronefs VFR et IFR? 

Référence : AIM de TC - RAC 2.8.4

Réponse 22 : 

Seulement entre les vols IFR. Oui.

 

23. Dans l’espace aérien de classe E, l’ATC assure l’espacement entre les aéronefs en seulement. 

Référence : AIM de TC - RAC 2.8.5

Réponse 23 : 

IFR

 

24, De quoi les pilotes devraient-ils être conscients à propos des contrôleurs de la circulation aérienne offrant des services dans un espace aérien de classe E?

Référence : AIM de TC - RAC 2.8.3, 2.8.4, 2.8.5.

Réponse 24 : 

Ils s’occupent d’un plus grand nombre d’espaces aériens que les contrôleurs qui offrent des services aux classes C ou D. De ce fait, il y a de grandes chances que les limites attribuables à l’équipement et à la charge de travail pourraient compromettre la diffusion de l’information sur le trafic et possiblement engendrer la cessation du service sans préavis.

 

25. Il est interdit de piloter un aéronef à moins de pieds AGL et à moins de NM des limites d’une zone d’incendie de forêt ou dans l’espace aérien décrit dans un NOTAM.

Référence : AIM de TC - RAC 2.9.2

Réponse 25 : 

3000 ; 5

 

26. À l’approche d’un aérodrome non contrôlé disposant d’une fréquence de trafic d’aérodrome (ATF), quand faut-il effectuer des comptes rendus?

Référence : AIM de TC - RAC 4.5.7; TP 11541; RAC 602.101 (VFR); RAC 602.104 (IFR).

Réponse 26 : 
  1. Avant l’entrée dans la zone, si les circonstances le permettent, au moins cinq minutes avant l’entrée dans la zone.
  2. Au moment de l’entrée dans le circuit.
  3. Au moment de l’entrée dans l’étape vent arrière, s’il y a lieu.
  4. Au moment de l’approche finale.
  5. La sortie de la surface sur laquelle l’aéronef a atterri.
 

27. Compte tenu de l’extrait suivant du CFS de l’aérodrome de Kingston, pouvez-vous décoller sans radio?

Référence : AIM de TC - RAC 4.5.8.1 ; RAC 602.98

Réponse 27 : 

Oui, à condition que la FSS soit en service au moment proposé pour l’opération et que des dispositions préalables aient été prises.

 

28. Dans un aérodrome non contrôlé, les vols IFR ont-t-il la priorité sur les vols VFR?

Référence : AIM de TC - RAC 1.8 et 4.5.2 ; RAC 602.19

Réponse 28 : 

Non, beaucoup préfèrent laisser la priorité aux vols IFR commerciaux et aux aéronefs de plus grande taille. Cette pratique n’est toutefois qu’une courtoisie personnelle du pilote, et il faut signaler que ces aéronefs n’ont pas la priorité sur d’autres aéronefs qui évoluent en régime VFR à cet aérodrome. Les règles de priorité de passage prévues par l’article 602.19 du RAC doivent être appliquées. AIM de TC, RAC 1.8 – Évitement d’abordage – Priorité de passage

 

SAR – Recherche et sauvetage

29. Le fait de surélever une ELT portative de 2,44 m (8 pi) par rapport au sol peut en augmenter la portée de pour cent. 

Référence : AIM de TC - SAR 3.6

Réponse 29 : 

20 à 40

 

MAP – Cartes et publications aéronautiques

 

30. Expliquez les numéros (1) à (10) de la présentation d’un NOTAM montrée ci-dessus. 

Référence : AIM de TC - MAP 3.2

Réponse 30 : 
  1. Priorité du message du service fixe aéronautique (SFA) et adresse de destination
  2. Date et heure (JJHHMM) et adresse SFA de l’origine (expéditeur)
  3. Série, numéro et année de diffusion du NOTAM
  4. Type du NOTAM (nouveau, remplacement, annulation)
  5. Case Q): Ligne codée pour les exposés personnalisés
  6. Case A): Indicateur(s) d’emplacement
  7. Case B): Date et heure de commencement
  8. Case C): Date et heure de fin
  9. Case D): Horaire
  10. Case E): Texte du NOTAM
 

31. Étant donné la TAF suivante :

TAF CYMJ 121740Z 1218/1306 14008KT P6SM BKN050 OVC080 TEMPO 1218/1303 P6SM −SHRA BKN030 OVC050

FM130300 14008KT P6SM BKN040 TEMPO 1303/1306 P6SM −SHRA BKN020 OVC040

RMK NXT FCST BY 130000Z

Quel est le plafond le plus bas prévu?

Référence : AIM de TC - MET 7.1

Réponse 31 : 

2000 pi AGL.

 

32. Étant donné le METAR suivante :

METAR CYYZ 121600Z VRB02KT 15SM SCT190 BKN250 11/00 A2986 RMK AS3CI3 SLP118

SCT signifie « épars ». À quelle altitude se trouvent ces nuages, quelle quantité de ciel en octas couvrent-ils et sont-ils considérés comme un plafond?

Référence : AIM de TC - MET 8.1

Réponse 32 : 

19 000 pi AGL ; 3 à 4 octas ; non.

 

33. Compte tenu de ce renseignement :

METAR CYBC 131200Z AUTO 33004KT 9SM CLR 20/10 A2991 RMK SLP130

 

Vous avez consulté la GFA avant votre vol et il n’y avait aucune mention de givrage pour votre aérodrome ou dans les environs, mais vous voyez le METAR ci-dessus. Le givrage au carburateur est-il plus susceptible de se produire en vol?

Référence : Exercice 3 du Manuel de pilotage, figure 2-4 graphique de givrage du carburateur. 

AIM de TC - AIR 2.3, y compris la figure 2.2 - Givrage du carburateur. Rapport A22P0061 du BST.

Réponse 33 : 

Oui, car il s’agit d’un givrage modéré avec la puissance de croisière, et d’un givrage sévère avec la puissance de descente. 

 

Étant donné la GFA suivante :

 

34. Veuillez écrire en texte clair ce qui est communiqué dans le cercle violet.

Référence : MANAB (ouvre une nouvelle fenêtre).

Réponse 34 : 

Visibilité locale de 3 milles terrestres, neige légère et pluie sur l’eau ou près de l’eau.

 

35. Dans le METAR suivant :

METAR CYND 131200Z 08009KT 15SM BKN067 BKN088 00/M04 A2988 RMK AC6AC1 VIRGA SLP123

Que signifie le signalement « VIRGA » à l’aérodrome?

Référence : Entre Ciel et Terre (30e édition), page 148 sur le cisaillement du vent à basse altitude.

Réponse 35 : 

Indices de la possibilité d’un vent descendant, mais il n’y a aucun moyen de prédire avec précision sa survenue.

 

LRA – Délivrance des licences, immatriculation et navigabilité

36. Un pilote de 55 ans, titulaire d’une licence de pilote professionnel, s’est rendu chez son médecin examinateur de l’aviation le 2 février 2024. Jusqu’à quand peut-il exercer les privilèges de sa licence de pilote privé?

Référence : AIM de TC - LRA 1.9 Aptitude physique et mentale pour les permis et les licences, 

1.9.1 Périodes de validité médicale, et tableau 1.8.

Réponse 36 : 

Jusqu’au 1er mars 2026. Sauf indication contraire dans son évaluation médicale.

 

37. À qui incombe la tâche de signaler les défectuosités constatées sur un aéronef et comment cela doit-il être consigné?

Référence : AIM de TC - LRA 5.6.1 ; RAC 605.94 ; Annexe I de la sous-partie 605 du RAC.

Réponse 37 : 

En vertu de l’article 605.94 du RAC et tel que stipulé à l’Annexe I de la sous-partie 605 du RAC, les commandants de bord sont chargés d’inscrire dans le carnet de route de l’aéronef les détails sur toute condition d’utilisation anormale qu’a subie l’aéronef et de toute défectuosité de pièce ou de l’équipement de l’aéronef qui devient apparente durant des opérations aériennes.

 

38. En plus de toute défectuosité de pièces ou d’équipement de l’aéronef qui devient apparente durant des opérations aériennes, les pilotes doivent également inscrire dans le carnet de route de l’aéronef les détails sur toute qu’a subie l’aéronef.

Référence : Annexe I de la sous-partie 605 du RAC ; AIM de TC - LRA 5.6.1

Réponse 38 : 

condition d’utilisation anormale 

 

AIR – Discipline aéronautique

39. Quel est le meilleur conseil à donner aux pilotes et/ou aux passagers qui souffrent d’un rhume de cerveau, d’une inflammation de la gorge ou d’allergie?

Référence : AIM de TC - AIR 3.6

Réponse 39 : 

S’abstenir de voler jusqu’à ce que l’inflammation ait disparu.

 

40. Le MOGAS est (plus/moins) sujet au givrage du carburateur.

Référence : AIM de TC - AIR 2.3

Réponse 40 : 

Plus. Parce qu’il est plus volatile que les autres carburants, le MOGAS est plus sujet au givrage au carburateur. Dans des cas extrêmes, du givre peut se former à une température extérieure pouvant atteindre jusqu’à 20 °C de plus qu’avec l’AVGAS.

 

41. En présence de pluie sur le pare-brise, le sommet d’une colline ou d’une montagne se trouvant en avant peut sembler être (plus élevé/moins élevé) qu’il ne l’est en réalité.

Référence : AIM de TC - AIR 2.5

Réponse 41 : 

Moins élevé. Le sommet d’une colline ou d’une montagne se trouvant à ½ NM en avant d’un aéronef peut sembler être à 260 pieds plus bas (230 pieds à ½ SM) qu’il ne l’est en réalité

 

42. Les pilotes en service qui ont donné du sang devraient attendre heures avant de voler.

Référence : AIM de TC - AIR 3.12

Réponse 42 : 

48 heures

 

43. Qu’est-ce que cela signifie lorsque l’ATC vous dit de décoller ou de circuler « à votre discrétion » ?

Référence : Guide de phraséologie VFR de NAV CANADA

Réponse 43 : 

Vous êtes responsable de la sécurité et de l’espacement. L’ATC vous donne l’instruction en s’attendant à ce que vous l’observiez dès que vous pourrez le faire sans danger, et peut diriger le trafic environnant sur la base de cette hypothèse. Tout retard dans la circulation au sol, le décollage ou l’atterrissage doit être signalé à l’ATC.

 

44. La , la et la de l’approche et de l’atterrissage seront directement liées au fait que l’aéronef avant ou peu après l’établissement de l’aéronef sur le parcours d’approche finale. 

Référence : SAN, numéro 1/2020, Approches stables selon les règles de vol à vue (VFR) (ouvre une nouvelle fenêtre)

Réponse 44 : 

La qualité, la fluidité et la sécurité de l’approche et de l’atterrissage seront directement liées au fait que l’aéronef a été stabilisé avant ou peu après l’établissement de l’aéronef sur le parcours d’approche finale.

 

ATP – Aéronefs télépilotés

45. À quel endroit puis-je trouver les dispositions réglementaires et les renseignements généraux relatifs aux aéronefs télépilotés?

Référence : RAC partie IX ; AIM de TC - ATP

Réponse 45 : 

RAC, sous-partie 900 et AIM de TC – ATP

 

Organiseur électronique de poste de pilotage/cartes/VTA/VNC/CFA

46. Quelle est la fréquence des zones d’utilisation de fréquence commune (CFA) pour Montréal-Nord et Montréal-Sud? 

Référence : CFS - Planification - Zones avec fréquences air-air discrètes - VTA de Montréal

Réponse 46 : 

La fréquence pour la CFA Montréal-Nord est 122,1 MHz et la fréquence pour la CFA MontréalSud est 122,575 MHz.

 

Supplément de vol – Canada (CFS)

 

47. Lors d’un vol tôt le matin, à 1300Z, de quelle façon un pilote devrait-il s’approcher du circuit pour l’intégrer afin d’effectuer un atterrissage avec arrêt complet? 

Référence : CFS ; AIM de TC - RAC 4.5.2

Réponse 47 : 

Aux aérodromes situés à l’intérieur d’une zone MF, lorsqu’il n’est pas possible d’obtenir des renseignements consultatifs d’aérodrome, l’approche du circuit d’aérodrome doit normalement se faire du côté vent debout.

 

Les deux prochaines questions ne s’appliquent pas à tous les aéronefs. 

48. Devriez-vous effectuer des exercices de décrochage avec un passager à bord ?

Référence : Rapport du BST A22W0057, POH/AFM de votre aéronef, RAC 406.02, 602.01.1, 602.28

Rapport d’enquête sur la sécurité du transport aérien A22W0057 - Bureau de la sécurité des transports du Canada (bst.gc.ca)

Réponse 48 : 

Non, il faut éviter d’en faire, car ils pourraient conduire à une acrobatie aérienne comme une vrille.

 

49. Les effets néfastes du givre, de la glace ou de la neige sur les performances et les caractéristiques de vol des aéronefs, sont généralement ressentis en termes de diminution de la poussée, de diminution de la portance, d’augmentation de la traînée, , de changement de l’assiette, de modification des caractéristiques de décrochage et de pilotabilité.

Référence : AIM de TC - AIR 2.12.2 b) (i) Contamination de l’aéronef au sol – Givre, glace ou neige

Réponse 49 : 

d’augmentation de la vitesse de décrochage

 

Questions propres aux avions

50. Nommez au moins trois facteurs qui ont une incidence sur la vitesse de décrochage d’un avion

Référence : utiliser les références relatives à l’avion, le Manuel de pilotage, le TP975

Réponse : , ,

Réponse 50 : 

Les facteurs incluent la masse, l’emplacement du centre de gravité, les turbulences, l’angle d’inclinaison, l’utilisation de volets, l’utilisation d’un train d’atterrissage rétractable, la contamination des ailes, les fortes pluies, le facteur de charge, la puissance.

 

Pour les questions 51 à 53, utiliser les informations et les figures suivantes (CFS, tableaux des performances au décollage et à l’atterrissage, et tableau des limites de vent de travers).

Masse totale au décollage : 2888 lb

Masse totale à l’atterrissage : 2645 lb

Température : 20 °C

Altitude-pression : 2000 pi

Vent : 260 ºM à 12 nœuds

Piste : sèche

 

51. Quelle serait la distance de course au décollage calculée étant donné les chiffres liés à l’avion DA40 NG ci-dessus, avec un carénage du train installé?

Réponse : pieds.

Réponse 51 : 

1785 pieds ou 545 mètres.

  • 465 m x 3,28 (conversion des mètres en pieds selon la note au bas du tableau) = 1525 pi.
  • Vent de face, - 10 % / 12 nœuds. 1525 - 152,5 = 1372,5
  • Pente ascendante + 15 % pour chaque 1 % de pente. 
  • 1372,50 + 30 % = 1784,25  pi
 

52. Se référer aux calculs précédents. Quelles sont les conditions de cette performance? 

Réponse : , , , , .

Réponse 52 : 

Puissance maximale, volets T/O, piste sèche et dur, décollage du train avant à 67 KIAS, et vitesse de montée initiale à 72 KIAS. 

 

53. Quelle serait votre distance d’atterrissage calculée en utilisant les données liées à l’avion DA40 NG ci-dessus sur une piste mouillée?

Réponse : .

Réponse 53 : 

1135 pi ou 346 m.

  • 320 m x 3,28 = 1049,6 pi
  • Vent de face - 10 % / 20 nœuds. (1 % / 2 nœuds, 12 nœuds = 6 %)
  • 1049,6 – 6 % (62,97) = 986,6 pi
  • Piste en dur, mouillée : +15 %. 986,6 + 15 % = 1134,59 pi
 

54. On peut s’attendre à la pire performance de décollage (et de montée) possible lorsque les quatre conditions suivantes sont réunies.

  • Température de l’air
  • Altitude de l’aéroport
  • Pression atmosphérique
  • Humidité relative

Référence : Manuel de pilotage - Performance au décollage 

Réponse 54 : 

élevée (supérieure à 15 degrés C) ; élevée ; basse (inférieure à 29.92) ; élevée

 

55. En cas de remise des gaz ou d’atterrissage interrompu, reportez-vous au manuel d’utilisation de votre aéronef. S’il n’y a pas de procédure recommandée dans le manuel, décrivez votre procédure de remise des gaz.

Référence : Manuel de pilotage - Approche et atterrissage

Réponse 55 : 

Dès que la décision de la remise des gaz est prise, remettez plein gaz, accélérez jusqu’à une vitesse de montée sûre en vol en palier, rentrez les volets au besoin en fonction du type, et relevez le nez en assiette de montée. Gardez le cap pendant la remise des gaz et réduisez la pression sur le manche au moyen du compensateur. Commencez la montée, maîtrisez l’aéronef, rentrez les volets, réglez la vitesse de montée et recompensez l’avion.

 

56. Vous venez tout juste d’effectuer le virage pour passer de l’étape de base à l’étape finale du circuit et vous vous préparez à atterrir. Quels éléments doivent être réunis en vue d’exécuter une approche stabilisée en conditions VFR?

Référence : Approche stabilisée – Alerte à la sécurité de l’Aviation civile (ASAC) No 2015-04 (ouvre une nouvelle fenêtre)

Réponse 56 : 

L’aéronef doit être sur la bonne route, tant horizontalement que verticalement, avec le réglage de puissance, la vitesse et le taux de descente appropriés, et aussi avec une configuration d’atterrissage adaptée aux conditions du moment.

 

57. Vous vous trouvez dans la situation présentée à la question précédente et sous 500 pieds AGL.

Référence : Approche stabilisée – Alerte à la sécurité de l’Aviation civile (ASAC) No 2015-04 (ouvre une nouvelle fenêtre)

Réponse 57 : 

Exécutez une remise des gaz selon les procédures indiquées dans le manuel de vol de votre avion.

 

58. En passant à 400 pieds AGL en descente lors de l’approche finale pour l’atterrissage, le pilote remarque que la vitesse est de 5 nœuds trop lente et qu’elle diminue lentement alors que le taux de descente est constant à environ 600 pi/min, que le seuil de piste est stable dans le pare-brise et que l’avion est centré sur l’axe de la piste. Pour stabiliser l’avion avant de descendre sous 200 pi AGL, le pilote devrait :

  1. abaisser le nez pour corriger la vitesse puis régler le compensateur.
  2. augmenter la puissance pour corriger la descente puis régler le compensateur.
  3. augmenter la puissance tout en abaissant le nez pour corriger la vitesse et le taux de descente, puis régler le compensateur. 
  4. augmenter la puissance tout en abaissant le nez pour corriger la vitesse tout en maintenant le taux de descente stable, puis régler le compensateur. 

Référence : Guide de test en vol – Licence de pilote privé (TP 13723) et Manuel de pilotage

Réponse 58 : 

d

 

59. En tant que pilote titulaire d’un permis de pilote de loisir, êtes-vous autorisé à effectuer un vol voyage à plus de 25 NM de votre aérodrome de départ?

Référence : RAC 401.22

Réponse 59 : 

Oui. Il n’y a pas de limite à la distance sur laquelle un pilote de loisir peut exercer ses privilèges de vol, si ce n’est qu’il doit rester au Canada. 

 

Questions propres aux hélicoptères

60. Robinson Helicopters recommande, pour éviter un basculement dynamique au décollage, de toujours effectuer un décollage . Pour cela, il faut tirer juste assez sur le collectif pour être sur les patins et sentir , puis faire monter doucement l’hélicoptère dans les airs. 

Référence : Robinson SN-9 (ouvre une nouvelle fenêtre)

Réponse 60 : 

en deux étapes ; léger ; un équilibre

 

61. Robinson Helicopters recommande une étude périodique et une formation , avec un instructeur qualifié, pour maintenir les compétences. Voici quelques-unes des manœuvres de vol recommandées : procédures , de précision (y compris par vent de travers et vent arrière) et décollage en toute sécurité. 

Référence : Manuel d’utilisation du Robinson R44 et R66

Réponse 61 : 

récurrente ; d’urgence ; vol stationnaire

 

62. givrage au carburateur peut se produire à une OAT aussi élevée que ºC. En cas de doute, présumez que les conditions sont pour la formation de givre dans le carburateur et si nécessaire. Pour les moteurs d’hélicoptères équipés d’un carburateur, le réchauffe carburateur peut être pendant le décollage.

Référence : Robinson SN-25 (ouvre une nouvelle fenêtre)

Réponse 62 : 

30; propices ; utiliser le réchauffe carburateur ; nécessaire

 

63. (Veuillez noter que l’énoncé suivant s’applique aux hélicoptères qui ne sont pas munis d’un type de système de stabilisation.) L’avis de sécurité SN-18 de la Robinson Helicopter Company Safety indique que, par rapport aux avions, les hélicoptères ont une stabilité et des taux de roulis et de tangage . La perte des repères visuels extérieurs, ne serait-ce que pendant un , peut causer la désorientation spatiale du pilote, de mauvaises sollicitations des commandes et un écrasement non contrôlé.

Référence : Robinson SN-18 (ouvre une nouvelle fenêtre)

Réponse 63 : 

moins inhérente ; beaucoup plus rapides ; moment

 

64. Les rapports d’enquête A18Q0016, A19O0026 et A11Q0168 du BST décrivent une condition nocturne, où il y a peu ou pas de repères visuels et pouvant entraîner diverses illusions et causer une désorientation spatiale. Comment appelons-nous cet été nocturne?

Référence : https://www.tsb.gc.ca/fra/rapports-reports/aviation/index.html (ouvre une nouvelle fenêtre)

Réponse 64 : 

Trou noir

 

Questions propres aux planeurs 

65. Un planeur et un aéronef entraîné par moteur se préparent tous deux à atterrir au même aérodrome. Le planeur se trouve à une altitude inférieure à celle de l’aéronef entraîné par moteur. Les deux aéronefs sont à la dernière étape de leur approche pour l’atterrissage. Selon la réglementation, que doit faire le commandant de bord de chaque aéronef?

Référence : RAC 602.19

Réponse 65 : 

Le pilote du planeur a la priorité et devrait prendre les mesures nécessaires pour éviter l’abordage. L’aéronef entraîné par moteur doit céder le passage au planeur. 

 

66. Les trajectoires d’un aéronef entraîné par moteur et d’un planeur convergent à peu près à la même altitude près d’un aérodrome. Le planeur est à la droite de l’aéronef entraîné par moteur. Quel aéronef a la priorité et quelles mesures les pilotes devraient-ils prendre pour empêcher l’abordage?

Référence : RAC 602.19

Réponse 66 : 

Le planeur a la priorité et l’aéronef entraîné par moteur doit céder le passage. L’aéronef qui est tenu de céder le passage à un autre aéronef ne peut passer au-dessus ni au-dessous de ce dernier, ou croiser sa route, à moins qu’il ne le fasse à une distance qui ne pose aucun risque d’abordage. 

 

67. Un pilote prévoit de remorquer un planeur ou une bannière à l’aide d’un avion. L’avion est équipé d’un crochet de remorquage mais il n’est pas doté d’un mécanisme de libération de remorquage. Le pilote peut-il commencer l’opération de remorquage?

Référence : RAC 602.22

Réponse 67 : 

Non, le pilote ne peut pas commencer l’opération parce que l’avion n’est pas doté d’un mécanisme de libération de remorquage. Conformément à l’article 602.22 du RAC, il est interdit d’utiliser un avion pour le remorquage d’un objet à moins qu’il ne soit muni d’un crochet de remorquage doté d’un mécanisme de libération de remorquage.

 

68. Indiquez au moins trois pratiques exemplaires permettant de prévenir les collisions en vol à proximité d’un aérodrome, en particulier lorsque des planeurs et des aéronefs motorisés évoluent ensemble.

Référence : AIM de TC - AIR 4.5 ; Rapport A19W0099 du BST (ouvre une nouvelle fenêtre)

Réponse 68 : 
  • Établir des communications radio claires et cohérentes, suivre les procédures de circuit publiées et balayer l’espace aérien à la recherche d’autres vols.
  • Maintenir une distance et une altitude de sécurité par rapport aux autres aéronefs, utiliser les feux de navigation et le balisage qui conviennent, et signaler tout conflit ou incident.
  • Coordonner avec le contrôle de la circulation aérienne ou l’exploitant d’aérodrome, respecter la priorité de passage, et éviter les manœuvres brusques ou imprévisibles.
  • Utiliser les feux d’atterrissage pour augmenter la probabilité de voir l’aéronef.
 

Questions propres aux ballons 

69. Si du givre apparaît sur le corps de valve d’une citerne à propane, quel pourrait en être la cause? 

Référence : (Utilisez les références relatives aux ballons)

Réponse 69 : 

Une fuite de propane dans le corps de la valve.

 

70. Afin de lancer un ballon de 84 pieds dans une zone bâtie, le diamètre du site de lancement doit être d’au moins 

Référence : RAC 602.13

Réponse 70 : 

105 pieds (84 pieds multipliés par 25 %)

 

71. Nommez trois distractions qui entravent le déroulement normal et perturbent les procédures habituelles d’un vol.

Référence : La puissance dangereuse des lignes électriques: Conseils pour éviter les collisions et les situations risquées (SAN 3/2021) (ouvre une nouvelle fenêtre)

Réponse 71 : 

La coordination avec l’équipe de suivis, les passagers, et les spectateurs

 

72. Les lignes électriques sont l’un des dangers du vol en suivi de terrain ou à proximité d’arbres. Quelle est la chose la plus sécuritaire à faire si une collision avec une ligne électrique est imminente?

Référence : La puissance dangereuse des lignes électriques: Conseils pour éviter les collisions et les situations risquées (SAN 3/2021) (ouvre une nouvelle fenêtre)

Réponse 72 : 

Couper toute l’alimentation carburant, vidanger tout le carburant restant dans les conduites et ouvrir tout grand le panneau de dégonflage rapide

 

73. Quels instruments et équipement sont nécessaires pour piloter un ballon en vol VFR de jour?

Référence : RAC 605.19 Ballons – Vol VFR de jour

Réponse 73 : 

Un altimètre, un variomètre, un indicateur de quantité carburant, un indicateur de température de l’enveloppe, une radio bidirectionnelle VHF à bande aérienne pour le vol dans l’espace aérien de classe C ou D, dans une zone MF (sauf si le ballon est utilisé en application du paragraphe 602.97(3)) ou dans l’ADIZ.

 

Questions propres aux ultra-légers

74. Quelle est la définition d’un avion ultra-léger de base ?

Référence : RAC 101.01 (1)

Réponse 74 : 

Avion ayant au plus deux places, qui est conçu et construit de façon à avoir :

  • a) une masse maximale au décollage d’au plus 544 kg ;
  • b) une vitesse de décrochage en configuration d’atterrissage (Vso) de 39 nœuds (45 mi/h) ou moins de vitesse indiquée à la masse maximale au décollage.
 

75. Les ultra-légers de base et de type évolué sont-ils autorisés à voler dans l’espace aérien contrôlé de classe C?

Référence : RAC 602.29 (2) d) et 605.14

Réponse 75 : 

Non, un ultra-léger de base n’est pas autorisé. Oui, un ultra-léger de type évolué est autorisé, sous certaines conditions, si l’aéronef est équipé conformément à l’article 605.14.

 

76. Quelles sont les exigences en matière de permis pour pouvoir transporter un passager dans un avion ultra-léger?

Référence : RAC 401.21 b) et c).

Réponse 76 : 

Avion ultra-léger - Avantages

401.21 Le titulaire d’un permis de pilote — avion ultra-léger peut, en vol VFR de jour :

  • a) agir en qualité de commandant de bord d’un avion ultra-léger à bord duquel il n’y a aucune autre personne;
  • b) agir en qualité de commandant de bord d’un avion ultra-léger à bord duquel il y a une autre personne si les conditions suivantes sont réunies :
    • (i) le permis du titulaire est annoté de la qualification permettant le transport de passagers,
    • (ii) l’avion ultra-léger ne fait l’objet d’aucune restriction concernant le transport d’une autre personne,
    • (iii) le titulaire a subi la formation, y compris l’instruction en double commande et le vol en solo, pour la classe d’avion ultra-léger utilisée;
  • c) agir en qualité de commandant de bord d’un avion ultra-léger à bord duquel il y a une autre personne si cette personne est titulaire d’une licence de pilote ou d’un permis de pilote, autre qu’un permis d’élève-pilote, lui permettant d’agir en qualité de commandant de bord d’un avion ultra-léger;
 

Questions propres aux autogires

Source : Manuel d’utilisation de l’autogire Calidus

77. Un pilote aux commandes d’un autogire de cette marque et de ce modèle, qui vole à 75 pieds environ au-dessus du sol avec un vent de face de 30 nœuds, devrait voler à une vitesse d’au moins pour permettre un atterrissage en toute sécurité en cas de panne du moteur. 

Référence : FAA-H-8083-21 (Rotorcraft Flying Handbook – for Gyroplane Use Only)
Différents manuels d’utilisation d’autogires

Réponse 77 : 

85 km/h

 

78. Le battement des pales de rotor est causé par :

  1. La dissymétrie de portance 
  2. Le décrochage de la pale reculante
  3. L’écoulement d’air transversal
  4. Des vitesses de circulation élevées

Référence : FAA-H-8083-21 (Rotorcraft Flying Handbook – for Gyroplane Use Only)

Réponse 78 : 

La dissymétrie de portance

 

79. Si des battements de pales de rotor se produisent au cours d’opérations au sol, le pilote doit immédiatement prendre les mesures suivantes :

Réponse :

Référence : FAA-H-8083-21 (Rotorcraft Flying Handbook – for Gyroplane Use Only)

Réponse 79 : 
  1. Pousser le manche de pas cyclique vers l’avant pour réduire l’angle du disque du rotor.
  2. Faire ralentir l’autogire en réduisant les gaz et en serrant les freins.
 

80. Quels sont les effets d’une manœuvre à g négatifs sur le régime du rotor d’un autogire?

  1. Augmente rapidement
  2. Inchangé
  3. Diminue rapidement

Référence 80 : FAA-H-8083-21 (Rotorcraft Flying Handbook – for Gyroplane Use Only)

Réponse 80 : 

Diminue rapidement

 

81. La zone du disque du rotor est la zone qui produit la plus grande partie de la force d’autorotation, tandis que la zone produit la plus grande partie de la composante verticale de la portance. 

Référence : FAA-H-8083-21 (Rotorcraft Flying Handbook – for Gyroplane Use Only)

Réponse 81 : 

motrice ; entraînée

 

Questions propres aux ultralégers à commande par transfert de poids :

82. Parfois, les pilotes d’ultra-légers à commande par transfert de poids se retrouvent involontairement dans un virage à forte inclinaison en descente, de type spirale. Cela peut se produire au cours d’une descente d’urgence, mais plus souvent lorsque le pilote aperçoit quelque chose au sol et souhaite l’examiner de plus près. Le pilote amorce un virage qui s’accentue jusqu’à 45 à 60 degrés d’inclinaison ou plus. La technique de redressement appropriée est , , et .

Référence : Weight-Shift Control Aircraft Flying Handbook (FAA-H-8083-5) Addendum

Réponse 82 : 

simultanément réduisez les gaz ; tirez la barre de commande vers l’intérieur pour réduire le tangage ; déplacez la barre de commande vers le côté pour ramener l’aile à l’horizontale.

 

83. En cas de chute d’un avion à commande par transfert de poids, il est très probable que cela entrainera une défaillance de la structure de l’appareil et causera de graves blessures ou la mort des occupants. Quelles sont les trois choses que peut faire un pilote pour éviter une chute :

Référence : Weight-Shift Control Aircraft Flying Handbook (FAA-H-8083-5) – Chapter 6

Réponse 83 : 
  1. Voler dans les limites fixées par le fabricant.
  2. Voler dans des conditions qui ne sont pas propices à l’exécution d’une chute.
  3. Obtenir la formation appropriée en matière de stabilité en tangage pour l’ultra-léger à commande par transfert de poids. 
 

Questions propres aux parachutes motorisés

84. Veuillez regarder la vidéo Helicopter wake turbulence: a dangerous phenomenon à l’adresse suivante : https://www.youtube.com/watch?v=56_HRDUpslc&t=7s (ouvre une nouvelle fenêtre)(en anglais seulement)

Des études démontrent que les turbulences de sillage d’un hélicoptère sont d’une intensité supérieure à celles d’un avion de poids équivalent. Les effets de la turbulence de sillage d’un hélicoptère peuvent se faire sentir sur  et de étendues. Lorsque vous voyez un hélicoptère voler à une altitude similaire, afin d’éviter la turbulence de sillage qui peut durer minutes.

Référence : vidéo sur https://www.youtube.com/watch?v=56_HRDUpslc&t=7s (ouvre une nouvelle fenêtre)

Réponse 84 : 

des distances relativement longues ; grande ; adaptez votre trajectoire et éloignez-vous dès que possible ; plusieurs

 

85. Les événements météorologiques tels que les tourbillons de poussière peuvent présenter un risque important pour les opérations de parapente et de parachute motorisé. Les tourbillons de poussière sont , qui se forment habituellement au cours lorsqu’un occasionne aussi un réchauffement de l’air à la surface du sol. Les tourbillons de poussière sont des signes visibles 

Référence : Rapport d’enquête sur la sécurité A20W0035 du BST 
The Powered Paragliding Bible par Jeff Goin – Page 74 (ouvre une nouvelle fenêtre)

Réponse 85 : 

des courants ascendants en rotation ou des remous ; des chaudes journées ensoleillées ; intense réchauffement de la surface ; d’air très dangereux.

 

86. Quelles sont les conséquences potentielles de la surcharge des ailes d’un paramoteur?

  1. Réaction dynamique aux événements de vol
  2. Augmentation du taux de descente
  3. Augmentation de la vitesse de décrochage
  4. Défaillance matérielle

Référence : Paragliding: The Beginner’s Guide par Bastienne Wentzel, Ed Ewing

Powered Paragliding Bible par Jeff Goin

Réponse 86 : 

Défaillance matérielle

 
 

87. À quel endroit pouvez-vous trouver les renseignements sur le calendrier d’entretien de votre aile de parapente?

  1. Facebook
  2. Canal YouTube de Tucker Gott
  3. Vos copains parapentistes
  4. Manuel de l’aile

Référence : Manuel de l’aile – chapitre sur les inspections

Réponse 87 : 

Manuel de l’aile

 

88. Lorsqu’un aéronef est utilisé à une altitude-pression de cabine supérieure à  pieds ASL sans dépasser  pieds ASL, chaque membre d’équipage doit porter un masque à oxygène et utiliser de l’oxygène d’appoint au cours de toute partie du vol effectuée à ces altitudes qui dure plus de 30 minutes.

  1. 10 000 à 13 000
  2. 8 000 à 11 000
  3. 15 000 à 18 000

Référence : RAC 605.32

Réponse 88 : 

a. 10 000 ; 13 000

 

Attestation

Nom :

No de licence :

Date :

J’atteste avoir rempli ce questionnaire pour satisfaire aux exigences de la formation périodique, laquelle doit être suivie tous les 24 mois, conformément à l’alinéa 401.05(2)a) du RAC.

Je conserverai ce questionnaire et je le présenterai sur demande.

Signature :