Bulletin électronique sur le Plan de protection des océans - 9 mars 2021

Plan de protection des océans - Protégeons nos côtes
Jane Weldon, chef exécutive, Plan de protection des océans, Transports Canada

Chers amis et partenaires du Plan de protection des océans,

Au moment de la rédaction de cette lettre, les terres sur lesquelles je me trouve font partie du territoire traditionnel de la Nation algonquine anishinabée. Alors que vous lisez son contenu d’un océan à l’autre, je vous invite à prendre un moment pour réfléchir à l’importance de la réconciliation avec les peuples autochtones. Le travail continu dans le cadre du Plan de protection des océans (PPO) du Canada ne peut être accompli sans une collaboration inédite avec les peuples autochtones et les collectivités côtières.

En novembre, nous avons souligné le quatrième anniversaire du Plan de protection des océans. Veuillez lire notre Rapport aux Canadiens : investir dans nos côtes grâce au Plan de protection des océans, qui répertorie des centaines de projets qui ont permis d’accroître la sécurité maritime et la protection de nos côtes et de nos voies navigables depuis le lancement du Plan en 2016. Dans le numéro du présent bulletin, nous soulignerons certains de ces projets qui se déroulent sur tout le littoral – du Pacifique à l’Atlantique en passant par l’Arctique.

Nous aimerions connaître votre avis sur les aspects qui se sont avérés efficaces, les éléments qui pourraient être améliorés et le travail qu’il reste à accomplir. Faites-nous part de vos commentaires sur le portail Parlons transport ou par courriel.

Je suis fière du travail qui a été accompli au cours de cette année difficile, en particulier de la façon dont les organismes gouvernementaux et les partenaires sont passés au mode virtuel pour mener leurs activités de mobilisation et ainsi continuer à tenir les engagements importants du Plan de protection des océans.

Le transport maritime continue de jouer un rôle important dans la reprise économique du Canada à la suite de la pandémie de COVID-19. L’engagement de notre Plan de protection des océans qui consiste à protéger la plus grande ressource du Canada, nos côtes et nos voies navigables, pour les générations futures, est plus important que jamais.

Jane Weldon
Chef exécutive, Plan de protection des océans
Transports Canada

Réponses obtenues - Le gouvernement du Canada doit œuvrer davantage dans les domaines suivants pour répondre à ces objectifs prioritaires : améliorer la régulation de la circulation maritime; réduire les effets du transport maritime sur le milieu marin;continuer de travailler en partenariat avec les peuples autochtones sur la sécurité maritime, notamment en tirant parti de leurs connaissances traditionnelles; et continuer à collaborer avec la communauté scientifique pour améliorer la sécurité maritime ainsi que pour préserver et restaurer les écosystèmes marins.

Histoires de nos côtes

Megan est biologiste spécialiste des oiseaux marins et de la faune terrestre à Environnement et Changement climatique Canada.

Megan Willie

Megan Willie, biologiste à Environnement et Changement climatique Canada

« Je travaille pour le Service canadien de la faune à Delta, en Colombie-Britannique, à titre de coordonnatrice des interventions d’urgence liées aux espèces sauvages. Je fais partie d’une équipe nationale de coordonnateurs dont le rôle consiste à mettre au point une approche de protection de la faune et de ses habitats en cas d’urgence environnementale. Nous utilisons nos données sur la faune ainsi que les données recueillies par de nombreux partenaires afin d’appuyer les évaluations des risques et l’élaboration de stratégies d’intervention au cours d’incidents maritimes.

Un écosystème marin en bonne santé est non seulement essentiel au respect de nos priorités écologiques, mais également au soutien de nos intérêts récréatifs, traditionnels et commerciaux. Ayant travaillé sur toute la côte de la Colombie-Britannique, j’ai pu constater sur place la diversité et la richesse incroyables de notre océan et de notre littoral. Préserver la santé et la beauté de ces ressources naturelles est au cœur de mes valeurs en tant que Canadienne.

Ces étonnants oiseaux marins sont, pour moi, une éternelle source d’inspiration. Ils migrent en grand nombre sur de longues distances et s’alimentent en chemin, ce qui nous procure une perspective unique sur la santé de l’ensemble de l’écosystème marin. Les membres de nombreux organismes qui se passionnent et qui se mobilisent pour protéger la faune et les habitats marins lors d’un incident sont aussi pour moi une source d’inspiration. »

Le Plan de protection des océans est à l’origine d’investissements importants dans la sécurité maritime sur la côte Ouest, pour assurer non seulement la protection des humains, mais aussi celle de la faune. Ces efforts contribuent à fournir des renseignements de base sur l’abondance, la répartition, les déplacements et la santé des oiseaux marins, et comprennent ce qui suit :

  • une augmentation de la capacité d’intervention d’urgence pour protéger la faune marine en cas de déversement d’hydrocarbures;
  • des relevés en mer normalisés sur les oiseaux marins réalisés depuis un navire;
  • des études de suivi approfondies des déplacements et de la migration des oiseaux marins;
  • des relevés élargis sur les colonies d’oiseaux marins;
  • une évaluation des effets de l’exposition au pétrole sur les oiseaux marins.
 
(de gauche à droite, images prises avant la COVID-19) Membres du personnel de la flotte de la Garde côtière canadienne employant le matériel d’intervention en cas de déversement d’hydrocarbures à bord d’une embarcation pneumatique à coque rigide; Image d’un scientifique du MPO menant des expériences en utilisant une bague de graissage dans le réservoir d’eau au Centre de recherche sur le pétrole, le gaz et autres sources d’énergie extracôtières situé à l’Institut océanographique de Bedford; Image montrant un scientifique du MPO recueillant des données physiques sur la colonne d’eau à l’aide d’un équipement déployé à partir d’un bateau dans la baie Placentia (T.-N.-L.).

(De gauche à droite, images prises avant la COVID-19) Membres du personnel de la flotte de la Garde côtière canadienne employant le matériel d’intervention en cas de déversement d’hydrocarbures à bord d’une embarcation pneumatique à coque rigide; Image d’un scientifique du MPO menant des expériences en utilisant une bague de graissage dans le réservoir d’eau au Centre de recherche sur le pétrole, le gaz et autres sources d’énergie extracôtières situé à l’Institut océanographique de Bedford; Image montrant un scientifique du MPO recueillant des données physiques sur la colonne d’eau à l’aide d’un équipement déployé à partir d’un bateau dans la baie Placentia (T.-N.-L.).

« En tant que fonctionnaire, il est gratifiant de faire un travail passionnant qui a une incidence sur les collectivités côtières », déclare Lindsey Weber, conseillère principale en politiques à Pêches et Océans Canada à Halifax, en Nouvelle-Écosse. « En travaillant au Plan de protection des océans avec nos collègues et partenaires, nous contribuons à la vitalité des écosystèmes et des industries du Canada atlantique. »

Le Plan de protection des océans vise à préserver et à restaurer le littoral et les écosystèmes marins de l’Atlantique, et peut compter sur l’appui de solides partenariats de collaboration dans divers domaines, dont :

  • des partenariats avec les collectivités autochtones et côtières, et avec les organismes locaux pour recueillir des données qui contribueront à la protection des espèces et des habitats marins vulnérables dans le cadre du Programme sur les données environnementales côtières de référence;
  • le renforcement du système de pointe existant de modélisation des masses d’eau océaniques pour permettre un vaste champ d’applications, comme l’amélioration de la prévision de la dérive pour mieux comprendre le comportement des hydrocarbures dans l’eau;
  • la recherche pour concevoir des dispositifs de détection acoustique des baleines noires de l’Atlantique Nord en vue d’aider à prévenir les collisions;
  • de nouvelles stations de bateaux de recherche et sauvetage et de nouveaux navires de classe Bay pour augmenter la capacité de recherche et de sauvetage;
  • des partenariats dans le cadre du Fonds pour la restauration côtière au budget de plusieurs millions de dollars pour appuyer les collectivités côtières qui entreprennent des projets de restauration de l’habitat côtier et pour aider à atténuer les effets des facteurs de stress sur les milieux marins;
  • le renforcement du réseau radar national des Services de communication et de trafic maritimes (SCTM) pour assurer la fiabilité et la précision de la surveillance du trafic maritime.

Apprenez-en davantage sur la façon dont ces projets en constante évolution, tels que l’intervention environnementale, la recherche et le sauvetage en mer et bien d’autres, sont menés à bien dans le but global de mieux protéger les côtes et les voies navigables de l’Atlantique du Canada.

Baleine noire de l’Atlantique Nord, épaulard résident du Sud et béluga

En plus des mesures particulières mises en place sur les côtes du Pacifique et de l’Atlantique, de nouveaux projets innovants sont en cours pour soutenir la survie et le rétablissement de l’épaulard résident du Sud et de la baleine noire de l’Atlantique Nord, notamment :

  • L’écoute de leurs environnements
    • Pour le compte de Transports Canada, JASCO Applied Sciences a installé une station d’écoute sous-marine de calibre mondial (site web en anglais seulement) dans le passage Boundary, près de l’île Saturna. Grâce à cet investissement pour la recherche scientifique, la firme a pu mesurer les émissions sonores sous-marines de plus de 11 000 passages de navires commerciaux dans les ports du sud de la Colombie-Britannique. Cette base de données sur le bruit des navires est la plus complète au monde et elle contient des données probantes essentielles qui guideront les efforts du gouvernement du Canada visant à améliorer les mesures de protection de l’épaulard résident du Sud. JASCO Applied Sciences exploite le système et collabore avec le Programme d’amélioration de l’habitat et d’observation des cétacés (ECHO) dirigé par l’Administration portuaire Vancouver Fraser pour analyser et communiquer les résultats.
    • Grâce à un financement de Transports Canada, l’Institut des sciences de la mer de Rimouski (ISMER) de l’Université du Québec à Rimouski (UQAR) établira et exploitera une station de recherche en acoustique marine de calibre mondial. Cette station de mesure et de recherche acoustique sous-marine est dotée d’hydrophones sous-marins ancrés au fond de la mer et reliés à des bouées de télécommunication dans le corridor de navigation du chenal Laurentien près de Rimouski, au Québec. Ce projet réunit les expéditeurs, le gouvernement et le milieu universitaire afin de s’attaquer au problème complexe du bruit sous-marin dans les milieux marins – le premier projet du genre dans l’Est du Canada.
  • Le suivi de leurs déplacements
    • Le nouveau bureau des mammifères marins de la Garde côtière canadienne, qui assure une surveillance 24 heures sur 24, et sept jours sur sept, signalera les observations de baleines en temps réel et conseillera le trafic maritime en fournissant une meilleure connaissance de la situation des activités des épaulards résidents du Sud et d’autres cétacés, tels que les baleines à bosse et les baleines grises.
    • Dans le cadre de l’initiative baleinIdées, le gouvernement du Canada finance des projets de recherche et développement qui permettent de tirer parti des données satellitaires afin d’aider à protéger la baleine noire de l’Atlantique Nord.

Découvrez comment nous protégeons les baleines en voie de disparition au Canada.

Le saviez-vous?

Depuis le lancement du Programme de formation dans le domaine maritime à travers le Canada, plus de 200 diplômés ont entrepris une carrière dans cette voie. Le Programme de formation dans le domaine maritime est offert par le Nunavut Fisheries and Marine Training Consortium, le British Columbia Institute of Technology en partenariat avec le Camosun College, et le Nova Scotia Community College. Pour en savoir plus : Programme de formation dans le domaine maritime.

Étudiants du Programme de formation dans le domaine maritime
Projets du Fonds pour la restauration côtière à Saint-André-de-Kamouraska (à gauche) et à Notre-Dame-du-Portage (à droite)
Projets du Fonds pour la restauration côtière à Saint-André-de-Kamouraska (à gauche) et à Notre-Dame-du-Portage (à droite)

En 2017 et 2018, le Comité ZIP du Sud-de-l’Estuaire a obtenu deux subventions du Fonds pour la restauration côtière, dans le cadre du Plan de protection des océans, pour réhabiliter les habitats du poisson de six écosystèmes de la rive sud de l’estuaire du Saint-Laurent. Ces subventions ont eu d’importantes répercussions sur les activités du Comité ZIP et lui ont permis d’entreprendre d’importants travaux, de développer l’étendue de son expertise et de sa connaissance du territoire et de recruter des spécialistes du littoral qui se sont joints à son équipe.

Le reprofilage de plusieurs plages, grâce à une expertise en géomorphologie et à des outils techniques de pointe, a été réalisé et a donné lieu à des résultats impressionnants dans la restauration des plages de Notre-Dame-du-Portage et de Notre-Dame-des-Neiges. Les travaux de revégétalisation des hautes plages, des marais littoraux et des herbiers de zostère marine à L’Isle-aux-Grues, à Rivière-Ouelle et à Saint-André-de-Kamouraska sont prometteurs. De tels travaux nécessitent un laps de temps suffisant et un financement adéquat si l’on veut assurer une surveillance logistique et rigoureuse, et ainsi garantir la durabilité et la préservation des habitats.

Après la réussite de cette première expérience avec le Fonds pour la restauration côtière, le Comité ZIP du Sud-de-l’Estuaire poursuivra sa surveillance et achèvera prochainement les travaux de restauration prévus dans le cadre de ces accords. Cependant, la réussite de ces interventions sera mesurée lorsque la nature reprendra ses droits et donnera lieu à des écosystèmes riches et résilients.

Membres du groupe en réflexion lors de la séance de clôture virtuelle.
Dans le sens horaire, à partir du haut à gauche : Andrew Bak (Transports Canada), Brigid Payne (Pêches et Océans Canada), Cecilia Lei, (Transports Canada), David Heap (Garde côtière canadienne), Tanya Bryant (Environnement et Changement climatique Canada)

Membres du groupe en réflexion lors de la séance de clôture virtuelle. Dans le sens horaire, à partir du haut à gauche : Andrew Bak (Transports Canada), Brigid  ayne (Pêches et Océans Canada), Cecilia Lei, (Transports Canada), David Heap (Garde côtière canadienne), Tanya Bryant (Environnement et Changement climatique Canada)

La septième édition du Forum de dialogue sur le Plan de protection des océans de la région du Pacifique de l’hiver 2021 s’est tenue du 17 au 19 février et pour la première fois dans un cadre virtuel. Plus de 400 représentants des collectivités locales et côtières, intervenants de l’industrie et partenaires y ont assisté, et 20 % des participants représentaient des collectivités autochtones.

Chaque journée du Forum s’appuyait sur un pilier du PPO : la protection de l’environnement, la prévention et l’intervention. Quinze initiatives différentes du PPO ont été explorées. Les planificateurs ont établi l’ordre du jour du Forum afin de répondre au mieux aux objectifs ciblés de l’initiative, selon qu’il s’agissait d’obtenir des commentaires sur leur initiative, d’établir des partenariats pour réaliser des projets pilotes ou de communiquer des mises à jour. Les séances étaient offertes sous forme d’exposés, de discussions de groupe ou d’ateliers.

Pour la première fois lors d’un Forum de dialogue sur le PPO, une discussion entre experts tenue au jour 2 a porté sur les partenariats et la collaboration avec les peuples autochtones pour mener à bien les projets du PPO. Aux jours 1 et 3, deux groupes composés de hauts représentants de Transports Canada, de Pêches et Océans Canada, d’Environnement et Changement climatique Canada et de la Garde côtière canadienne ont profité de l’occasion pour répondre aux questions sur le PPO et pour réfléchir aux défis et aux enseignements tirés depuis le lancement du Plan en 2016.

La majorité des participants au Forum ont indiqué avoir une meilleure compréhension des initiatives du PPO et ont aimé le fait de pouvoir assister à des séances portant sur des sujets d’intérêt.

La tenue du Forum de dialogue en mode virtuel a permis de tirer de nombreuses leçons sur l’importance de planifier en amont, d’avoir un plan B et même un plan C, et de s’entourer d’une bonne équipe de travail.

Un rapport sur ce que nous avons entendu est en cours de préparation et devrait être publié en mars.

Un navire à charge ravitaillant les collectivités du Nunavut

En novembre 2020, le gouvernement du Canada a annoncé un financement pour améliorer les services de ravitaillement par bateau dans neuf collectivités du Nunavut. Le champ d’application varie selon la collectivité, mais comprend des caractéristiques telles que de nouvelles voies d’accès, des systèmes de traction robustes, une délimitation des zones de ravitaillement par bateau et de mise à l’eau des bateaux au sein des collectivités, des bureaux de sécurité, un éclairage et une signalisation.

Bien que le terme « ravitaillement par bateau » soit souvent empreint d’une connotation militaire, dans le contexte des collectivités côtières du Nord du Canada, il désigne le réapprovisionnement annuel de marchandises – comme le carburant, les véhicules, les aliments, les matériaux de construction et d’autres biens importés – qui s’effectue généralement entre juillet et octobre par voie maritime. Il s’agit du moyen de réapprovisionnement le plus couramment utilisé dans les collectivités côtières du Nord du Canada, car les navires et les barges peuvent transporter de grandes cargaisons et leur utilisation est généralement moins coûteuse et plus efficace que les aéronefs.

La navigation dans l’Arctique peut être difficile étant donné que les collectivités nordiques sont éloignées et que la saison de ravitaillement par bateau et de réapprovisionnement est courte. Néanmoins, les collectivités de l’Arctique canadien comptent sur les services de ravitaillement et de réapprovisionnement maritimes en nourriture et en biens importants. C’est pourquoi le gouvernement du Canada, dans le cadre du Plan de protection des océans, accroît la sécurité, l’efficacité et la rapidité des activités de réapprovisionnement dans l’Arctique pour les collectivités nordiques éloignées.

De nombreuses collectivités du Nord ne disposent pas des infrastructures et de l’équipement nécessaires pour décharger les marchandises des barges et des navires, ce qui peut avoir une incidence sur l’efficacité et la sécurité des opérations de transport maritime. Grâce aux contributions financières accordées dans le cadre du premier appel de propositions pour l’Initiative sur l’équipement de sécurité et l’infrastructure maritime de base dans les collectivités nordiques, le gouvernement du Nunavut a collaboré avec les collectivités côtières du territoire pour déterminer les besoins en infrastructures nécessaires aux opérations de réapprovisionnement maritime. Cette collaboration a donné lieu à l’élaboration et à la sélection de divers projets, y compris des améliorations au transport maritime dans les neuf collectivités suivantes : Arviat, Baker Lake, Cambridge Bay, Chesterfield Inlet, Kinngait, Kugaaruk, Qikiqtarjuaq, Rankin Inlet et Taloyoak.

Grâce à de simples améliorations, comme la délimitation des zones de ravitaillement par bateau et de navigation pour la collectivité, l’ajout de bureaux de sécurité et la modernisation de l’éclairage et de la signalisation, les projets d’amélioration du transport maritime au Nunavut renforceront la sécurité des passants, des plaisanciers et des travailleurs. Ils permettront également de sécuriser le fret et d’accélérer le mouvement des marchandises. Une efficacité accrue devrait permettre de réduire le temps d’amarrage, et par conséquent, les risques d’incidents de pollution marine.


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